En pleine urgence climatique, spécialistes de l’écologie et de l’environnement, ingénieurs et spécialistes en bâtiments, chercheurs et scientifiques s’attèlent à trouver des solutions innovantes pour limiter les pollutions du secteur tertiaire et diminuer son empreinte écologique. Car ce secteur est particulièrement énergivore. Gourmand en électricité, gourmand en eau, il est par conséquent un peu trop généreux dans ses rejets en CO2, et en eaux usées, ce qui fait de lui l’un des plus importants pollueurs.

Aujourd’hui le secteur tertiaire fait face à de nombreux défis pour réduire son impact environnemental. Mais les challenges qui lui sont fixés continuent d’être essentiellement accès autour de la consommation en énergie : d’ici 2030, le secteur doit réduire d’au moins 40% sa consommation d’énergie finale, soit une diminution de 3% par an. Pourtant, au delà de sa consommation énergétique, les conséquences environnementales des rejets liés aux activités menées dans ce secteur représentent, elles aussi, une part non négligeable de l’impact des bâtiments du secteur tertiaire.

Les eaux usées du secteur tertiaire : un fléau pour l’environnement

Nous l’évoquions déjà dans cet article sur l’importance de traiter ses eaux usées pour ne pas polluer : le rejet des eaux usées dans les espaces naturels est une véritable catastrophe. Notamment lorsque celles-ci ne sont pas – ou mal – traitées. Les eaux rejetées par les bâtiments du secteur tertiaire contiennent – en plus des rejets ménagers (graisses, débris organiques…) -, des charges particulièrement polluantes comme des produits toxiques, des solvants, des métaux lourds, des hydrocarbures… Alors si avant d’être rejetées dans la nature, ces eaux ne sont pas correctement assainies, l’ensemble de ces polluants s’infiltre dans les terres, les mers, les fleuves et les océans, détériorant de ce fait l’équilibre de la nature.

Les eaux « sales » générées par les activités du secteur tertiaire constituent une source de pollution non négligeable. C’est pourquoi, en plus d’agir pour limiter sa consommation en énergie, le secteur tertiaire doit également mettre en place des solutions pérennes et performantes pour dépolluer ses eaux usées.

La maintenance biologique : une solution pour limiter les pollutions du secteur tertiaire.

Pour limiter l’impact de ses rejets d’eaux usées sur la planète, les bâtiments du secteur tertiaire doivent mettre en place des solutions performantes pour assainir ces eaux.

Par son procédé novateur, la maintenance biologique constitue une solution intéressante pour traiter efficacement les eaux vannes / eaux usées générées par les activités du secteur tertiaire.

Grâce aux bactéries et procédés physico-chimiques qui la composent, la solution de maintenance biologique mène une action curative et préventive au sein des réseaux d’évacuation des bâtiments. Elle digère le tartre et les autres charges polluantes présentes dans vos canalisations et évite la réformation d’amas obstructeurs. Cela dans le but d’assurer le bon fonctionnement de votre réseau d’évacuation.

Naturelle, la solution de maintenance biologique a été développée dans une logique de durabilité, de respect de l’Homme et de sa planète. En ce sens, elle s’inscrit dans une démarche d’éco responsabilité. La maintenance biologique répond à certains critères nécessaires à l’obtention des certifications HQE, LEED, BREEAM.

Performante et pérenne, la maintenance biologique a déjà fait ses preuves auprès de divers acteurs du secteur tertiaire dont vous pouvez retrouver les témoignages ici.